Quoi de plus gratifiant que de prendre soin d’une petite créature sans défense ? C’est sûrement ce que s’est dit cette femme en se rendant dans un refuge.
Bien qu’elle s’y soit rendue dans le but d’adopter un chat adulte, une femme (dont le pseudo est bashiboi sur le site imgur), a finalement craqué pour un être bien plus petit.
Le chaton qu’elle a vu venait tout juste d’arriver au refuge. Quand il a été trouvé, il était seul, déshydraté et n’arrêtait pas de miauler, cherchant sa maman qui l’avait malheureusement abandonné.
Photo : Bashiboi
La gentille femme savait qu’il ne pouvait pas rester ici et qu’il avait besoin d’un foyer. Et comme elle avait fondu en le voyant, elle décida de l’emmener chez elle.
À peine le chaton avait été nourri qu’il stoppa ses petits cris et s’endormit.
Photo : Bashiboi
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La femme décida de l’appeler Bashi, ce qui signifie « rebelle » en arabe.
Bashi se sent en sécurité auprès des humains.
Photo : Bashiboi
Mais il aime aussi être auprès de ses jouets. Notez que c’est un petit voleur…il a pris le porte-monnaie de sa maman humaine !
Photo : Bashiboi
Vers l’âge de 4 semaines, il pouvait enfin manger sa première nourriture solide. Et il n’en laisse pas un morceau !
Photo : Bashiboi
Au fil du temps, Bashi grandit et prend du poids, comme un petit chat en bonne santé.
Photo : Bashiboi
C’est un petit joueur mais il peut parfois être très sérieux. Le voilà en train de contempler…quelque chose !
Photo : Bashiboi
Comme tous les chats, une de ses activités favorites est de dormir. Et avec le sourire s’il vous plait !
Photo : Bashiboi
Photo : Bashiboi
Une vraie star !
Photo : Bashiboi
Bashi est également très…littéraire !
Photo : Bashiboi
Le voilà à 4 mois. Il a bien grandi. Mais il aime toujours autant dormir.
Photo : Bashiboi
Grâce à cette femme, Bashi est désormais heureux. Il a oublié les débuts difficiles de sa vie de chat.
Alors, dans la mesure du possible, faîtes comme elle et pensez à adopter si vous désirez un animal de compagnie.
Vous pourrez ainsi donner beaucoup d’amour à des animaux qui en manquent parfois cruellement.
Photo : Bashiboi
